ninafort

Voilà déjà 2 heures que nous roulions, sur cette autoroute qui n’en finissait plus. Sous cette chaleur d’été engendrant une sorte de torpeur moite, le temps commençait à se faire long. Ils gardaient le sourire, et j’aimais à penser qu’ils étaient tous excités.

Nous étions ensembles, c’était comme un éveil des sens permanent, d’inavouables sensations toujours à fleur de peau. Il arrivait qu’un regard d’eux, qu’un léger mouvement, une attitude, un sourire parfois, arrive à m’émoustiller. C’était très curieux et je ne m’en lassais pas.
Je découvrais depuis peu avec eux que l’amour n’était pas qu’un bien être de l’âme, mais aussi une variation de tension permanente de mon corps qui ne cessait de passer de l’état de calme serein, a celui de très légère tension des sens, puis de forte excitation, parfois insoutenable, menant à ce besoin de les sentir très fort en moi.

Avec eux à côté de moi, j’étais toujours en période d’attente, malgré moi bien souvent. Cette sorte d’attente inconsciente d’un geste d’eux, d’un regard, était devenue l’essentiel de ma vie, tout le reste n’étant que plaisirs secondaires. C’était un état inconscient, bien vécu. La Chaleur du moment, le temps qui passait lentement, et cette langueur générée par le ronronnement du moteur m’amenaient à ces pensées, très douces. Nous ne roulions pas très vite, mais suffisamment pour rester sur la voie du milieu de cette Trois voies, doublant parfois de lents et hauts camions dans une ambiance de musique que j’aimais.
Ma robe légère arrivait à mi cuisses et je sentais le très léger courant d’air de la clim, depuis le bas de mes jambes.

Ils aimaient cette robe à petite bretelles faite d’un coton très léger qui savait aussi mettre en valeur ma poitrine qu’ils adoraient.
Elle formait un décolleté qui découvrait le haut de mes seins, en dessinait la profondeur, respectant au détail près leurs courbes, rendant aux yeux les plus curieux un effet d’indécence.

L’envie me vint d’intensifier cette apathie, et doucement, d’un mouvement de mes pieds, j’ôtai mes chaussures et remontai légèrement le bas de ma robe, me découvrant ainsi jusqu’en haut mes cuisses

Il y avait entre mon chauffeur et moi comme des signaux d’excitation sensuelle, aussi petite soit-elle, il les détectait.
Ce simple, imperceptible mouvement de mes pieds, nus maintenant, avait alerté son radar intime, en veille depuis le matin. Sa main quitta le volant et pris la mienne.  Ce geste simple me faisait toujours un curieux effet, car lorsqu’il me prend la main, ce mouvement à lui seul constitue toute une opération. Je me rappellerai toujours la première fois qu’il m’avait fait cela.
C’est une suite de gestes lents, faite de doigts qui s’approchent des vôtres, qui les touche d’abord, comme un contact électrique établi, très léger, puis il place votre main paume vers le haut et ses doigts, de leur bout seulement, effleure les vôtres. Puis doucement il place la paume de sa main au contact de la vôtre, et vous en sentez la chaleur.
La lenteur du geste fait que vous vous sentez imprégnée petit à petit, et je crois que c’est cela qui en fait la force ressentie. Le second assis à l’arrière n’en perdait pas une miette très attentif à toute la scène. Lorsque votre main est dans la sienne, vous vous mettez à croire à une sorte de puissance extraterrestre dont l’effet produit ressemble à un invisible fluide qui s’échange.
Je me suis toujours demandée qui lui avait appris cela, et au bout du compte me suis dit que ces choses-là ne s’apprennent finalement pas.
Le fluide m’imprégnait, en tous cas, et il avait dosé le pouvoir finement, sans grande pression de nos mains…

Je fermai les yeux… Comme je les connaissais, ces hommes… je savais maintenant qu’à tout moment, il allait déplacer ses doigts, et la question du moment était de savoir à quel endroit de mon corps j’allais sentir un nouveau contact.

Cela ne tarda pas. Lorsqu’il posa sa main sur le haut de mon genou gauche, j’écartai imperceptiblement mes cuisses, et quand sa main remonta lentement jusqu’à remonter ma robe encore un peu, je me dis que le fait de n’avoir pas mis de culotte ce jour-là avait été une bonne idée.

Le contact de sa main sur le haut de ma cuisse avait ceci d’agréable qu’il déclenchait une zone de chaleur sur tout le bas de mon corps. Il déplaçait sa main doucement, caressant maintenant la partie inférieure de mon ventre sous la robe.
Il faisait cela bien et je fermai définitivement les yeux, me laissant transporter dans ce monde des sens qu’il m’avait appris à bien connaitre.

Mes jambes s’écartaient davantage, instinctivement sans doute, laissant à sa main le loisir de se transformer en contacts de doigts, plus précis, lorsqu’ils descendirent cette fois ci sur l’intérieur de ma cuisse.

Malgré notre intimité sans faille, je suis toujours un peu gênée lorsque je sens mon corps réagir à ce point a ses caresses, quant au simple contact de ses doigts cette humidité se crée malgré moi.

 Il avait dégagé le bas de mon ventre, bien visible maintenant, et mes cuisses écartées lui laissaient libre de choix de ses mouvements. Le parcours de sa main, depuis mon ventre jusqu’au haut de mon clitoris en écartant doucement mes lèvres était d’une redoutable précision, et lorsqu’il s’en saisi entre ses doigts je frémis un peu.

 Ce contact fait d’un léger mouvement de va et vient m’en faisait sentir la fermeté autant que mon degré d’excitation.
Je commençais à mouiller sérieusement, mais lui n’avait pas commencé cette exploration plus intime que mon corps n’allait pas tarder à réclamer malgré moi.

 Je crois que me trouver ainsi, pieds nus, dénudée jusqu’au bas ventre, les rayons du soleil au travers du pare-brise affleurant mon sexe offert, décuplait les sensations ressenties.
Je m’abandonnai davantage, les yeux fermés lorsque ses doigts furent plus précis, s’insérant lentement en moi, toujours sous forme de caresse, sans vraiment me pénétrer.

 Puis je le sentis remonter et dégager mon clitoris jusqu’à le mettre à nu, c’est là que j’eu mon premier gémissement, car le contact de son doigt maintenant complètement mouillé sur le bout de mon clitoris commençait à me procurer cet indéfinissable plaisir qui ne se quantifie plus, tant il est fort. Il me parcourait ainsi et je commençais à ressentir ce besoin, bien plus qu’une simple envie, de pénétration. Il le savait et s’attachait à faire durer ces choses-là. La caresse de mon clitoris, les mouvements de ses doigts sur mon extrémité, alternant la lenteur à de petits mouvements rapides, malmenaient mes sens, amenant le désir aux limites du besoin impérieux. Il savait qu’il pouvait m’amener à jouir rien qu’à ce jeu, il savait aussi parfois s’arrêter, me laissant pantelante, presque frustrée, un désir fou au fond de mon corps, mon intimité ruisselante et mes sens en feu. Je ne me doutais pas qu’il allait donner ce jour-là à mes sensations une dimension nouvelle, par un détail d’environnement pour moi inattendu.

 Mais en attendant, le plaisir que je ressentais commençait à monter terriblement, alors qu’il s’ajoutait à mon imaginaire cette photographie du bas de mon corps ainsi nu jusqu’au ventre, les cuisses maintenant bien écartées, offerte au soleil. Cela dura longtemps, et je souris doucement à la pensée de certaines de mes amies qui ne connaissaient pas encore tous ces plaisirs

ils m’avaient, au fil du temps passé ensembles, amenés à donner une autre dimension aux plaisirs des sens, dimension ou l’acte sexuel en lui-même n’est pas un aboutissement, mais qu’un des multiples dérivatifs du plaisir que nous offre nos corps.
Avec eux, le plaisir est avant, il est aussi après, capables qu’ils sont de vous amener à un orgasme puissant, en même temps que de jouir en vous, de se retirer lentement, puis de continuer à vous caresser, a vous exciter de leurs baisers, à vous faire rester sur cette crête de la vague de l’orgasme déjà atteint, puis de leurs baisers les plus impudiques vous ramener à des sommets du plaisir jusqu’à jouir encore.

Ces pensées ajoutées à l’effet de ses caresses du moment m’amenaient aux limites du plaisir, et je tentais de combattre l’arrivée de spasmes, tant les sensations de plaisir extrême devenaient fortes. C’est le léger ralentissement de la voiture qui me fit entrouvrir les yeux.
La tête penchée vers lui, c’est son sourire qui attira mon attention.
Son regard pénétra le mien quelques secondes, puis s’orienta vers ma droite tout en me rassurant d’une mimique des lèvres, m’incitant à regarder aussi. Alors je le fis, toujours empreinte de ma langueur sensuelle.
À ma droite un énorme camion qu’on aurait dû dépasser depuis longtemps, mais il avait ralenti.
C’est lorsque je relevai la tête que je sursautai. Au volant du camion: Un Camionneur, avec des yeux exorbités me fixé.
Mon chauffeur me plaqua la main bien à plat sur le ventre, m’interdisant de bouger.
L’homme au volant souriait, à seulement 2 ou 3 mètres de moi, regardant alternativement la route devant lui, ou moi.

Mes mains se crispèrent et je cherchai son regard que je ne trouvai pas, tout en n’arrivant pas à vraiment sortir de la torpeur sensuelle très avancée dans laquelle il m’avait mise. Le camionneur regardait mon corps presque nu.

 L’autre ami assis à l’arrière a commencé à  caresser ma poitrine, à travers ma robe puis à faire glisser doucement les bretelles. Très lentement ses mains se sont infiltrées avec délicatesse sous le fin tissu, déclenchant des frissons dans tous mon corps, et faisant ériger mes tétons sous ses doigts. Puis il a baissé le haut de ma robe jusque ma taille dégageant ainsi toute ma poitrine. Puis se penchant au-dessus de moi a réglé le par soleil pour m admirer dans le miroir de courtoisie, et profiter de toute la scène avec le chauffeur son ami
Les doigts du chauffeur avaient repris leurs caresses et me maintenaient à la limite du plaisir, tout près de l’orgasme.
Impossible de quitter cet état extrême, où le plaisir dominait, où chaque passage des doigts sur le bout de mon clitoris complètement découvert me déclenchait des mouvements incontrôlés du bas ventre, où malgré moi je me mordais les lèvres, maintenant sous les yeux de cet inconnu qui souriait. Je vis qu’il comprenait le coté non-ludique de la situation, je ne jouais pas, j’étais dans un monde à part, et il le savait.
En fait le désir d’être pénétrée s’imposait, cette caresse folle du Clitoris m’avait excitée au plus haut point, et l’envie de sentir en moi quelque chose de dur devenait un besoin, cela devenait insupportable.
Il me connaissait tellement. Il savait mon état. Il m’amenait à la limite de l’orgasme, et au fil de mes contractions s’arrêtait, puis reprenait lentement. Il pouvait me maintenir dans cet état pendant des heures, s’il le voulait.
C’était maintenant le regard figé du Camionneur qui me fascinait.
En Professionnel, il avait copié la trajectoire de son camion, et ne regardait presque plus devant lui, se basant sur notre voiture.
Il devait voir les spasmes de mon ventre sous les effets du plaisir sans jamais l’atteindre vraiment.
Je mouillais comme jamais, et c’est avec les yeux seulement entrouverts que de ma bouche s’échappait comme un râle.

La présence d’un tiers dans notre intimité  décuplait mon plaisir, et j’étais très loin de m’imaginer l’idée qui venait de germer dans le cerveau de mes amis.

C’est vrai qu’il y eu de la déception lorsqu’ il accéléra mettant fin à cette situation déroutante.
Toujours excitée au-delà du supportable, les yeux dans le vague, je devais avoir l’air d’une nana complètement shootée à je ne sais quoi, surtout que je commençais à me dire que je venais de vivre un moment à la fois troublant, excitant, certes, mais où la part d’embarras n’avait d’égal que la part de plaisir supplémentaire que cela avait apporté.

Je ne me rendis pas compte tout de suite que nous avions  pris une bretelle de dégagement menant à une aire de repos. La voiture ralenti et je pris à peine conscience de la condition semi inconsciente dans laquelle j’étais, étant sûre que j’aurai été radicalement incapable de me lever, et de marcher, par exemple.
La voiture s’arrêta, et sans arrêter ses terribles attouchements fit quelque chose de curieux : il verrouilla les portes.

Il mit enfin son autre main sur mon corps en feu, faisant cette fois ci remonter complètement ma robe jusqu’à ma ceinture, le bas rejoignant ainsi le haut, mon vêtement le faisant plus qu’une ceinture autour de la taille.
J’avais le bout des seins irrité, mal à l’estomac, de légers tremblements dans les jambes me prenaient parfois, le sexe brûlant, et l’entrejambe complètement mouillé.
Je m’étonnais des regards appuyés de mes amis vers… les rétroviseurs…et du fait que ces regards n’étaient pas inquiets, pas de ceux qui craignent d’être surpris, mais plutôt comme une attente qui … ne se fit pas attendre longtemps.

J’entendis plus que je ne vis l’énorme Camion s’arrêtant assez loin de nous, et lorsque je sursautai au bruit de pas crissant sur le gravier du parking, l’ami assis derrière moi me fit tourner et  m embrassa tandis que mon chauffeur recommençait ses caresses.

Ses lèvres sur les miennes me renversèrent lorsqu’en même temps des doigts s’enfoncèrent en moi doucement.
Ils procédaient par de lents va et vient, de la langue pour l’un dans ma bouche empêchant ma respiration de ses baisers, et des doigts pour l’autre dans mon sexe.
Je me sentais folle d’excitation, de désir, d’envie de jouir. La présence de cet inconnu devenait à la fois secondaire et importante.

Me savoir nue sous ses yeux, à quelques centimètres de ses mains, de ses yeux, moi-même n’osant regarder où il était exactement, et ne contrôlant pas exactement ni mon corps ni mon esprit, j’étais sous l’entière domination de mes amis.

Il dégagea lentement son visage mettant fin à ce long baiser pour caresser mes seins et me laisser voir le camionneur, sans que l’autre ne cesse ses caresses.
Je vis le camionneur. Mon Dieu qu’il était prêt, tout près de moi, juste séparé par la vitre, son visage a 50 cm de mon ventre il ne regardait pas, il détaillait l’intérieur de mes cuisses ruisselantes maintenant.
Seules nos portes verrouillées me séparaient de cet inconnu dont je ne voyais pas les mains, cachées à mon regard.

Il s’était un peu détaché de mon corps sans arrêter sa douce caresse.
C’est alors qu’il retira ses doigts de moi lentement, me laissant à mes mouvements du bassin totalement incontrôlés.
Il caressa à nouveau mon Clitoris tout en écartant mes lèvres, m’offrant au regard du Camionneur dans ma plus profonde intimité.

Je fus surprise d’écarter mes cuisses davantage tandis que je voyais l’homme reculer juste un peu, le temps de réaliser qu’il tenait son sexe a la main.
À 30 cm de mon visage, au travers de la vitre se tenait ce sexe tendu que l’inconnu massait doucement. L’effet produit fut des plus curieux : à la fois l’envie de toucher, l’envie de sexe.
Ma main gauche chercha et tomba directement sur ce quelque chose de terriblement ferme, dur et doux à la fois, chaud dans ma main.
Je tenais le sexe de mon ami, regardant fascinée celui d’un autre dont le gland se dégageait au rythme du mouvement de sa main.
La chaleur du creux de mon ventre devenait insupportable, l’envie, non… le besoin d’être pénétrée par un sexe d’homme, dur, chaud, circulant en moi devenait impérieuse.

Mon chauffeur imperturbable me regardait simplement, avait arrêté de me toucher, écartant simplement davantage mes cuisses, m’offrant littéralement au regard de notre inconnu devenu complice.
J’étais incapable de dire un mot, j’étais complètement dépassée par la situation, par le désir, le sentiment qu’un brin de folie s’était emparé de moi, Lorsqu’il prit ma main droite inactive et le plaça sur mon sexe lentement.
Il me caressait sans me toucher, par l’intermédiaire de mes doigts.

Je me rendis compte à quel point j’étais trempée et le contact de mes doigts sur mon clitoris abandonné depuis seulement quelques secondes fut comme une déflagration dans le bas du ventre.

La sensation du touché du sexe de mon ami, dur comme il l’avait rarement été, cette chaleur irradiante vers ma main , les yeux rivés sur le gland du sexe de cet autre homme seul dehors, puis la main droite au contact de ma moiteur, et l’imagination en feu, ça n’est qu’en quelques caresses adroites que je fus envahie par un orgasme d’une puissance sans égal, presqu’une douleur de cette si longue attente, un cri incontrôlé qui m’échappa en même temps que je vis le sperme apparaître au gland de notre voyeur maintenant accompli.

Je fermai les yeux, ayant peine à croire la réalité de ce que je vivais, envahie d’une immense fatigue.
Je ne sus pas vraiment la suite, ne revenant à la réalité que lorsqu’il remit le moteur en marche.
Encore trempée, épuisée, je ne bougeai pas la tête, simplement tournée vers l’extérieur.
Il effectua sa marche arrière, et j’eu à peine le temps d’échanger un sourire léger avec notre complice d’un moment.

Cet après-midi-là, après déjeuner, j’ai enfilé sur le string seul, que je portais depuis le matin. Ce qui leurs avaient permis maintes caresses au cours du repas, et mêmes quelques introductions de doigts entre mes cuisses ou mes fesses, pendant que je les servais à table. J’ai donc enfilé, une jupe longue en cuir qui descendait jusqu’à  mi mollet, pour éviter les griffures de branchages et autres ronces dans les sous-bois  mais fendue très haut derrière limite de l’entre jambes, et en haut une chemise de chasse  d’homme directement sur mes seins nus.

Pendant que penchée j enfilais mes bottes en cuir a petit talon carré, l’un d’eux placé derrière moi, apercevant la ficelle de mon string par la fente qui s’était écartée  de ma jupe m’a dit Nina tu crois que c’est utile ce string ? Pour toute réponse, venant de finir de mettre mes bottes j’ai tout simplement glissé mes mains sous ma jupe ouverte également devant comme derrière pour faire glisser mon string et l’ ôter, devant  l’approbation générale .

Nous avons traversés la plaine sous un beau soleil, ils m’ont fait marcher devant eux, car ils n’avaient droit qu’au tir dans les bois, cela pour avoir une vue sue les fesses à chaque enjambés par l’ouverture de ma jupe derrières qui s écartée à chaque pas, écoutant les commentaires des garçons car l’un d’eux était un petit nouveau, donc plutôt impressionné par mon indécence mon naturel et mon côté femme libre.

 Une fois dans les bois nous nous sommes mis en ligne mais je devais être toujours à côté de l’un deux  par sécurité, les chiens tournaient et furetaient partout dans les buissons, nous attendions autour, celui avec qui j’étais a rapidement commencé à me coller et à caresser ma poitrine à travers ma chemise, puis a déboutonner un à un les boutons libérant ainsi à la vue mes deux seins. Heureusement que  l’on pouvait entendre les autres chasseurs étrangers venir de loin par le bruit es pas sur les feuilles mortes, mais il est vrai aussi que de laisser entrevoir ma poitrine a d’autres chasseurs m’excitait terriblement, et que lorsque cela est arrivé quelques minutes plus tard j’ai un peu refermé les pans en tirant dessus pour les coincer dans ma ceinture qui se sont retrouvaient ouvert en pointe jusqu’à mon nombril, laissant apparaitre ainsi la vallée entre mes seins et la rondeur de ceux-ci . Chose qui a fait que le chasseur qui venait vers nous ayant l’air pressé, c’est arrêté surement, c’est même certain en me voyant ainsi aussi avenante, pour discuter avec l’ami à côté de moi mais les yeux rivés sur ma poitrine presque a l’air suivant la façon dont je me tournais et me tenais, ce que j’ai vu c’est que dans son pantalon c’était la révolution, ce qui a amusait mon ami, mais cela n’a pas duré longtemps car les deux autres amis nous ont appelés pour que nous contournions le bosquet pour continuer notre chemin laissant la l’inconnu penaud tout bandant.

J’oublie de dire que suite à cette rencontre l’ami lui aussi bandait de cette scène, et les autres me voyant arriver dans cette tenue ont eu un sifflement admiratif, et au bout de quelques minutes de discussion sur le chemin à suivre et à regarder les chiens travailler, oui plutôt devrais-je dire à mater mes seins eux aussi ont commencés a voir de belle bosse dans leur pantalon de chasse, et moi d’être ainsi le point de mire de toute leur attention , j’avoue que j’ai commencé à être excitée et à mouiller.

Rapidement ils ont réussis à se mettre d’accord sur une direction, que l’un connaissait bien pour être l’endroit propice !!! Après  quelques centaines de marche, j’ai sursautée surprise par deux coups de fusil, l’un d’eux venait de tuer un faisan, il l amis dans sa poche arrière de veste de chasse et nous avons continué notre chemin pendant 20 minutes, avant  d’arriver sur un cul de sac le bois s’arrêtait sur une falaise creusée par une entreprise qui avait extrait de la marne, et nous avions une très belle vue sur la vallée tout en étant à l’orée du bois avec devant nous une clôture qui sécurisait l’endroit, j’étais en train d’admirer la vue quand j’ai senti une main frôler mon ventre et la main s’infiltrer par la fente devant pour caresser mes cuisses en remontant vers mon sexe  par l’un d’eux a ma droite, celui à gauche glissait sa main sous ma chemise pour caresser avec douceur mes seins le troisième est venu se coller presque contre ma croupe passer sa main par la fente derrière pour caresser mes fesses nues, j’étais bien aux anges une jolie vue et des mains douces et délicates partout sur moi le bonheur.

Ils m’ont fait avancer de 2 mètres  jusqu’au  grillage afin de ne plus être gênés par les arbres et arbustes, et celui de derrière a fait  glisser ma chemise de mes épaules et l’a accroché à la clôture j’étais face à grillage l’un d’eux c est assis devant moi dos au grillage pour commencer à me lécher, d’instinct j’ai écarté les jambes pour mieux m’offrir à sa bouche, celui de derrière c est accroupi , écarté les pans de ma jupe pour embrasser et lécher mes fesses tout en les écartant pour atteindre ma petite porte de sa langue, le troisième lui caressait mes seins et les embrassait et m embrassait a pleine bouche.

Puis je ne sais lequel a déboutonné ma robe qui c est retrouvée accrochée avec ma chemise, et me suis donc retrouvée toute nue accrochée hyper excitée à deux mains au grillage légèrement penchée en avant sous les coups de lange de plus en plus précis et accompagnes de d un doigt qui commençait à forcer mon anus et les coups de langue sur mon clitoris de celui de devant avec ses doigts qui pénétraient mon vagin avec douceur et délicatesses.je ne  occupais plus ce que qui se passait autour de moi, il pouvait y avoir des voyeur, je n’y pensais même pas et je m’en fichais j’étais déjà dans un autre monde.

Celui de derrière c’est levé sans sortir son doigt de mon anus qui continuait d’aller et venir doucement dedans, il est venu frotter son sexe contre mes fesses, le long de ma raie, c’était trop j’avais envie de sa queue en moi alors je me suis cambrée, penchée un peu plus, tendue mes fesses vers lui, mais il a pris son temps, m’a fait languir.

Il me tenait par les hanches pour frotter son sexe contre et entre mes fesses, se masturbant même par moment entre mes cuisses contre mon sexe dégoulinant tellement j’avais envie. Et d’un coup il m’a pénétré son sexe  glissant entre mes lèvres intimes ce qui m’a fait pousser un cri de plaisir mêlé de surprise par cette attaque directe. Pendant qu’il me faisait l’amour il me pénétrait les reins de ses doigts rempli de salive, et il salivait carrément sur mon anus.

J’avais une queue dans la chatte , une langue toujours sur le clitoris , et le troisième a détaché mes mains du grillage pour me faire tourner un peu , les poser sur ses hanche et m’offrir sa bite toute raide devant ma bouche que je me suis empressée d’avaler sans même prendre le temps de la suçoter la prenant directement entière dans ma bouche pour la sucer. J’étais sur une autre planète je planais, prise de partout, nue dans la nature, je n’ai pas compté combien j’ai eu d orgasmes à la suite, eux non plus, mais d’après eux c’était sans arrêt que je jouissais a peine un orgasme terminé un autre commencé, je veux bien les croire, car à la fin de cet après-midi de chevauchée j’ai eu du mal à retraverser le petit bois tellement j’étais épuisée.

Toujours dans la même position suçant étant léchée, celui qui me baisait, est tout à coup sorti de mon sexe, et sans autre préambule a présenter son gland contre ma petite porte, et j’ai senti mon anus s’ouvrir  et laisser le passage à sa queue, mes sphincters se dilatant pour libérer le passage et avaler le renflement du gland et une fois ceux-ci dépasser celui-ci a été aspiré tel un suppositoire au fond de mes reins ce qui m’a procuré des frissons partout et presque donné un orgasme.

Ensuite il y a eu tout un enchainement, je me suis retrouvée plaquée contre le grillage cuisses écartelées la queue au fond de mes reins qui me martelait, mes pieds se soulevant presque du sol par moment, et la pour faire durer, ils se sont succéder derrière moi y restant chacun parfois 1 ,2 minutes pas plus pour ne pas éjaculer trop vite, puis un autre le remplaçait,  je serais incapable de dire combien de temps cela duré. Tout ce que je sais c’est que cela a commencé vers 15h pour se terminer à 18 h

J’ai entrevu un des garçon s’allonger sur le sol pantalon ouvert à demi baissé la queue pointant droit vers le ciel, et que celui qui était en train de m enculer, m’a soulevé du sol pour aller vers l’homme allongé, moi toujours embrochée sur son sexe entre les fesses, et la a commencé toute une gymnastique pour arriver à ce que je m’agenouille sur la queue pointant vers le ciel pour la faire pénétrer dans mon vagin tout en conservant celle que j’avais entre les fesses en place, cela a bien demandé 5 bonnes minutes avant que j’ai le bonheur d’avoir deux queues en moi, je pense avoir eu un orgasme dès la pénétration, ensuite cela n’a été que succession de jouissance.

Le troisième en attendant son tour de me sodomiser, car toujours pareil pour ne pas éjaculer trop vite il faisait un roulement derrière, donc le troisième je le suçais doucement juste pour le garder en érection, mais je pense que réellement il n’en avait pas besoin car rien que la vue et la scène qui se déroulait sous ses yeux suffisait, et des que celui qui me sodomisait été trop excité il se retirait remplacé par celui que je suçais et il venait devant moi , attendait un peu que la tenson redescendre avant de glisser son sexe dans ma bouche, et ainsi de suite. Celui de sous a réussi à s’extraire de sous moi pour venir faire la ronde derrière moi.et cette ronde infernale mais oh combien sublime a du durer longtemps avant que le premier se fasse surprendre par le plaisirs et éjacule dans mes reins. Ce qui a failli faire jouir celui que je suçais dans ma bouche. Et c’est ainsi que les deux autres ont éjaculés l’un après l’autre dans mes reins bien lubrifié ensuite par le sperme du premier remplissant mon rectum de sperme. Me procurant encore plusieurs orgasmes en les sentant se vider en moi.

Je me suis relevée avec leurs aides tellement j’étais éreintée, j’ai voulu prendre ma jupe sur la clôture, alors ils m’ont dit ru n en as pas besoin a cet heure-là il n y a plus grand chasseur pour rentrer. Pour éviter les ronces et les branchages nous avons suivi le petit passage dégagé qui longe la clôture, puis ensuite le bois très dégagé, je sentais le sperme qui coulait de mon anus pendant de petits pets à peine perceptibles  car pas mal d’air été entre au cours de la longue série de sodomie, cela les amusaient beaucoup. Comme nous entendions des voix à la sortie du bois j’ai demandé à récupérer ma jupe et ma chemise, mais ils ont refusés, j’étais horriblement gênée car je sentais et voyais le sperme couler le long de mes cuisses derrière et je me doutais que je devais avoir les fesses toutes luisantes de leurs secrétions et de ma mouille dont il s’était servi pour la pénétration et qui s’était écoulé de ma chatte en abondance pendant l enculage a 4 pattes.

Effectivement en sortant du bois nous sommes tombés sur deux chasseurs qui discutés, c’est vrai que lorsque il m’ont vu nue entourées de mes amis ils ont été sciés, scotchés, bouche bée nous ont regardés passer sans dire un mot mais nous on suivi du regard, j’essayais de marcher d’un air naturel devant mes amis, avec une sensation pas de honte car il m’en fait plus que ça, mais un peu de gêne , ( eh oui cela peut m’arriver)  mais en même d’une excitation terrible comme à chaque fois pendant une exhibition qui sort de l’ordinaire, et la c était le cas. Et traverser toute la plaine ainsi sur plus de 2 km  avec au loin parfois a moins de 100 mètres d’autres chasseurs tout aussi médusés que les premiers, mais je me sentais de plus en plus à l’aise. Me permettant même en plein champ alors que se trouvait a peut-être 200 mètres deux chasseurs, de me retourner vers mes amis de m’approcher d eux pour caresser leur braguettes,  de les ouvrir et de m accroupir pour commencer a les sucer il faut avouer qu’ils n’avaient pas débandés depuis que je marchais nue devant eux, et tranquillement j’ai commençais a les sucer tour à tour tous les trois, cela a été rapide car cela leur semblaient tellement surréaliste de se faire sucer tous les trois devant d autre chasseurs en plaine, en plus l’un des amis les connaissait car c’était sur sa commune. Les deux autres se sont rapprochés a peu près a 20, 30 mètres et se sont arrêtés. 

Ils pouvaient très bien voir les sexes aller et venir dans ma bouche tour à tour, l’un a je pense commencé à se caresser avec une main dans sa poche, c’est une chose que je remarque très vite. Puis les amis l’un après l’autre ont éjaculés dans ma bouche tout a été assez rapide à cause du lieu la situation et aussi parce que j’ai accéléré le mouvement suçant du mieux que je pouvais et vous pouvez me faire confiance je sais y faire.

Puis l’ami qui connaissait les chasseurs a été les voir pour qu’ils restent discrets, car l’ami en question été fiancé.

Nous sommes enfin rentrés chez lui sa maison donnant directement sur les champs mais avec des voisins autour il voulait que je me rhabille à cause des voisins, je lui ai dit non tu as voulu que je sois nue toute l’après-midi, et bien je rentre jusqu’ a chez toi nue, moi je ne les connais pas tes voisins et ils seront surement ravis de me voir nue, j’étais toute excitée par la traversée de la plaine nue devant des chasseurs. En fait aucun voisin ne m’a vu ou du moins il n’en a jamais eu aucun écho. Et après une douche, la soirée a débuté avec un qui est parti mais 2 autres qui sont arrivés  mais ça c’est une autre histoire

Bisous a tous

Ce qui va suiivre c est passé ce soir au bureau, juste avant le fermeture.

Avant il faut que je dise que dans l'aprés midi j'ai dialoguer sur skype avec un ami, et qu'au cours de la discussion tres chaude j'ai fini par oter mon string , celui de la photo. Je me suis donc retrouvée nue sous une ma mini robe a bretelles au décolleté au carré asses profond, donc plutoto sexy 

Etant en pleine discussion avec mon interrnaute, et ne faisant pas attention a l heure, je me suis rendue compte tout à coup que j'etais quasiment seule dans les bureaux, qu'en l'agent de secutié c'est manifesté, mais depuis combien de temps etait il la a m'observer , car en pleine discussion et partage de photos avec mon interlocuteur , je ne l'avais pas entendu arriver. Et moi assez excitée par les photos et surtout videos que je visionnais avant de les lui envoyer, je me caressais, tantot machinalement sans meme y prendre garde, la poitrine ou l entre jambes nue sous ma mini robe remontée. Autant dire que mon decolleté baillait sur mes seins nus et qu il avait un apercu sur ceux ci assez belle, surtout après son approche ainsi que sur mes cuisses a travers le dessus en verre de mon bureau debarrassé de tout doccument.

Il m'a demandé mademoiselle, vous en avez encore pour longtemps? je lui ai repondu pas trop , juste le temps de finir de rentrer quelques donnèes. Lui de se repprocher pendant que je continuais discretement le dialogue sur skype, et tout pres a coté de moi legerment sur le coté, il avait une vue imprenable dans mon decolleté, me doutant qu il devait entrevoir entierement mes seins nus dedans, et egalement presque mon entrejambes, dont il savait qu il etait nu, puisqu il avait du me voir me caresser en arrivant en face de moi.

Sans lever la tete je pouvais en detournant les yeux vers lui voir que sa braguette etait toute gonflée, et qu'elle enflée encore a vue d oeil.

J'ai été prise d'un coup d une envie folle de sucer , comme cela m'arrive souvent . Et comme c'est un agent de secutité de l'exterieur qui vient securiser les lieux tous les soirs en mettant signal d'alarme en route et ronde de nuit plus l'ouverture du matin, donc ne fait pas parti de la boite, je me suis dite pourquoi pas .

Alors j'ai commencé a discuter avec lui de tout et de rien , puis je lui ai posé la question si il savait etre discret, naturellement il m'a dit oui, j'ai insisté  vraiment disctret sur ce que vous avez vu et ce que vous voyez en ce moment  et disant cela je passais un doigt dans mon decoleté pour tirer un peu dessus pour faire apparaitre mes seins entierement nus, car si vous etes vraiment discret , vous pourriez etre amené au cours d autres visites de fermeture des bureaux revoir certaines choses. 

Il est devenu tout rouge et m'a certifié qu'etant marié il ne viendrait pas a l'idée d'aller raconter quoique cela soit. Je le detaillais alors des pieds a la tete beau gosse la quarantaine , brun athlétique, yeux bleus , avec une bosse enorme dans la braguette.

Apres avoir discuté de tout et de rien, revenant une nouvelle fois sur sa discretion totale de ce qu il voyait, et en tendant la main en caressant sa braguette et sentant sous mes doigts son sexe tout raide, lui disant , Vous comprenez ce que je veux dire? 

Alors le prenant par la main le l'ai attiré derriere moi, puis posé cette main sur mon epaule la faisant doucment glisser vers ma poitrine, jusqu a ce qu'elle arrive a la naissance d un de mes seins, et a partir de cet instnt plus eu besoin de la guider. La main a glissé sous ma robe pour prendre un de mes sein a pleine main pour le caresser, bientot suivie par l autre main s'emparant de l autre sein

Il a rapidement fait glisser les bretelles et le haut de ma robe est tombée autour de ma taille libèrant mes seins nus, ses mains s activaient sur eux, sur mes tetons tout erigès, puis sont descendues sur mon ventre pour venir froler mon sexe a travers ma robe.Je sentais son sexe tout raide contre mon epaule.

Je me suis levée de mon fauteuil de bureau pour laisser tomber la robe sur le sol et ainsi apparaitre entièrement nue devant lui, avant de me rasseoir.

Pendant tout ce temps je tentais de continuer de dialoguer avec mon ami internaute sur skype, Le gardien c'est pendant quelques minutes agenouillé entre mes cuisses pour me lecher, c etait absolument genial, mais ce n etait pas de cela que j'avais envie.Alors je l ai fait se relever, et un fois debout a coté de moi, d un simple geste rapide de la main j'avais ouvert sa braguette, et degraffé son pantalon pour faire descndre celui ci et son slip sur ses chevilles.

Je vois encore son regard ebahi devant ma determintation et mon audace, et surtout n en croyant pas ses yeux, qu en il a vu que je commencais a sucoter son sexe. Au debut juste le bout du gland comme si c etait une boule de glace en cornet , puis je l ai aspiré pour le decalotter du bout des levres pour engloutir sa queue lentement.Il avait le soufle court et haletant, poussait de tout pettis cris de plaisir de temps en temps, j y allais doucment m'arretant de temps en temps pour lecher ses bourses car trop excité je le sentais pret a ejaculer a tout instant.

Mais j' ai eu beau faire, d un coup il a posé ses mains sur ma tete pour la plaquer contre son ventre, et il c est mis a gemir en poussant en meme temps des grognements , et d un coup il a ejaculé dans ma bouche, j ' avais du mal a avalé a mesure car il devait etre sevré depuis assez longtemps, car c'etait jet sur jet au fond de ma gorge.

Puis une fois que les spasmes de sa jouissance ce sont terminés, j ai sucot' son sexe pour le nettoyer avant qu il se remette son pantalon.

Il ma dit en se habillant, "jamais je n avais ressenti autant  de plaisir, j amais eu le plaisir de jouir dans la bouche d une femme, car ma femme refuse meme de me sucer un peu. Alors vous mademoiselle c'etait sublime, vous etes incroyablement sexy, et en plus j ose le dire hyper douée pour donner du plaisir " 

Je lui ai dit cela sera notre secret, et si un soir j ai une envie subite comme ce soir et que vous etes la, et qu il n y a plus personne dans les bureaux, je penserais a vous pour vous redonner un peu de ce plaisir que vous semblez tant apprecier.

J' ai vite fermé les application sur mon poste de travaille en restant nue devant lui, puis avant de partir j ai renfilé ma robe, avant de rejoindre ma voiture sur le parking, en m eloignant a pieds de lui qui attendait pour fermer le portail, je soulevais ma robe pour lui montrer mes fesses nues se dandinant en allant vers mon vehicule a 20 m de lui.

bisous a tous et a toutes 

J'appelai en début d’après-midi mon amie Nadège, avec qui j’avais déjà flirté un peu mais sans dépasser, les baisers, et les caresses sur ses cuisses sous la jupe mais sans plus. Je lui demandai carrément si elle pouvait venir me voir en d'ôtant son string avant de sortir, pour le glisser dans son intimité, puis de prendre sa voiture pour venir. Elle accepta après un long silence, lui conseillant ensuite d’être sexy.  L'excitation montait lentement en moi en attendant de la voir Nadège... Quelques coups frappés à la porte indiquèrent son arrivée. J'allai ouvrir et observai mon amie hyper sexy, vêtue comme je lui avais demandé. Je tombai immédiatement sous le charme. Je l'invitai à entrer. Nadège regardait devant elle  un peu intimidée. Je suis venue derrière elle et lui dit d'une voix douce : Bonjour toi... Elle se retourna lentement, j’approchai mon visage du sien, éclairé d'un sourire. « Bonjour » murmura-t-elle. Nous étions toutes deux sous le charme. Je lui pris les mains et l'attirai vers moi ; nos lèvres se touchèrent. Avec tout d'abord une légère retenue, elle m'embrassa. Le baiser se fit rapidement plus profond, puis fougueux, ma langue s'introduisant entre ses lèvres entrouvertes. Elle  répondit jouant de sa langue autour de la mienne. Posant les mains sur ses épaules, je fis glisser son manteau au sol et plaquai mon corps contre le sien. La chaleur envahissait mon ventre. Les seins fermes de Nadège  étaient pressés contre les miens, tout comme son ventre et ses cuisses. Ses mains caressaient légèrement mon dos ; les miennes parcouraient lentement les côtés de ses seins en descendant sur ses hanches, puis remontant des hanches à ses seins. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien. Elle  éloigna légèrement son visage du mien avec un petit sourire.

 Je l'embrassai avec fougue. Ses bras se nouèrent autour de ma taille, me pressant contre elle. Je fis glisser les fines bretelles de sa robe le long de ses bras, découvrant ses seins fermes dont les tétons étaient déjà durs et dressés. Mes mains posées sur ses fesses, je me laissai lentement glisser vers le bas, posant quelques baisers sur son cou, le haut de sa poitrine... Je la sentais frémir, elle avait mis ses mains dans mes cheveux. Ma bouche atteignit ses seins que j'embrassai tour à tour. Je prenais ses tétons durs pour les faire rouler entre mes lèvres, les pinçant, les agaçant du bout de la langue. Elle ondulait, pressant ma tête contre elle. Je dénouai la ceinture qui retenait sa robe à la taille et fit glisser celle-ci à ses pieds. Je levai les yeux Nadège  était devant moi, magnifique et nue à l'exception de ses Dim Up, les jambes légèrement écartées, la tête rejetée vers l'arrière, offerte à mes caresses. Son sexe était totalement épilé et accessible, elle  commençait à s'ouvrir. Ma bouche descendit sur son ventre, léchant son nombril. Je glissai deux doigts dans son sexe, et, constatai avec plaisir la présence du string, que je lui avais demandé de glisser à cet endroit avant de prendre la route. Je le retirai avec douceur en tirant sur la ficelle, provoquant un spasme involontaire chez elle, je le portai  à mes lèvres et mes narines pour constater avec plaisir, qu'il était presque détrempé par la liqueur et l’odeur intime de Nadège. Elle  me regarda avec gourmandise tandis qu'elle déboutonnait mon chemiser, libérant mes seins aux tétons érigés. Elle les engloba de ses mains pour les masser fermement, jouant avec mes tétons érigés et excités. Elle déboutonna facilement ma jupe qui glissa au sol. Une main sur ma hanche, elle caressait mon ventre, de l'autre faisant des cercles appuyés en descendant. Du bout des doigts, elle atteignit ma minette pour la caresser légèrement. Je commençai à mouiller abondamment. Puis pour être installées plus confortablement, je m'allongeai sur le canapé, entrainant Nadège. Elle poursuivait ses caresses, ses doigts glissant sur mes lèvres humides et ouvertes. Je m'abandonnai quelques instants à la douceur de ses doigts explorant mon sexe. Je me redressai pour embrasser Nadège langoureusement et caresser son ventre frémissant. L'allongeant complètement, ma bouche descendit vers ses seins, les embrassant, les suçant, tandis que ma main descendait sur son ventre, puis vers l'intérieur de ses cuisses. Ma main se fit plus précise. Mes doigts remontèrent le long de ses lèvres mouillées et ouvertes. J'effleurai le clitoris, provoquant une contraction chez elle, puis ils descendirent, pour introduire deux doigts en elle. Elle ouvrit largement les cuisses, m'invitant d’aller plus loin. Je la pénétrai lentement, avec douceur, m'introduisant profondément dans son vagin offert. Un lent mouvement de va-et-vient fit gémir Nadège sous mes doigts.

Ma bouche descendit à son tour rejoindre ma main. J'effleurais le clitoris gonflé de désirs du bout des lèvres, déclenchant des gémissements rauques. Je commençai à lécher de la langue ses lèvres intimes largement ouvertes par mes doigts. En plus d’une odeur suave et enivrante, le sexe de Nadège avait un goût si particulier, une saveur douce et sucrée, qui décuplait mon plaisir naissant. Je la léchai maintenant avec gourmandise. Glissant mes doigts dans son sexe et entre ses fesses dans son anus serré. Nadège posa les mains sur mes hanches, me sollicitant et m'invitant à l'enjamber et à venir au-dessus d'elle, ce que je fis aussitôt. Ma bouche et ma langue fouillaient maintenant profondément la fente de Nadège, grande ouverte, détrempée et offerte. Ses mains empoignant mes fesses, sa bouche se plaqua sur mon sexe tout ouvert et offert. Une décharge de plaisir me traversa le ventre. Elle fouillait à son tour en moi, me pénétrant profondément de sa langue, et me buvant. Ses  doigts pénétrants mon vagin et mon anus. Ma bouche et ma langue se faisant plus pressante sur son clitoris, et, deux de mes doigts glissés dans son vagin, et un dans son anus,  allant et venant de plus en plus vite en elle .  Je la sentais haleter et onduler du bassin, serrant ma tête contre son ventre.  Elle se mit à gémir de plus en plus fort criant presque au moment de son orgasme qui la laissa pantelante quelques instants.

Puis nous avons changé de position, je me suis assise a demie allongée, les fesses a ras des coussins. Invitant Nadège qui avait compris ce que je désirais, est venue s’agenouiller entres mes cuisses ouvertes. Elle commença à me caresser les cuisses, glissant ses mains  vers l'intérieur, tandis qu'elle m'embrassait le ventre, avec de petites succions. Le plaisir et la chaleur s'intensifiaient en moi. Je saisis la tête de Nadège pour la guider entre mes cuisses grandes ouvertes. Elle suivit le mouvement et je sentis sa bouche sur ma chatte grande ouverte tandis que sa langue remontait entre mes lèvres d'un lent et doux mouvement Elle introduisit un doigt, puis deux dans mon vagin offert à ses caresses ; j’avançai le bassin pour la guider encore plus profondément en moi. Des lèvres et de la langue, elle suçait et massait mon clitoris gonflé et ultrasensible. Je lui caressais les cheveux et la nuque, plaquant sa bouche contre mon ventre. Elle introduisit un troisième doigt tandis que j'écartais les cuisses au maximum. Je la sentis, la, me pénétrer avec tous ses doigts serrés. La jouissance montait en moi. J'étais totalement ouverte, mon vagin dilaté et ruisselant sur sa main. Je lui soufflai dans un soupir continue met toute ta main. Après un court instant d'hésitation, elle continua à me pénétrer de la main, les phalanges à l'entrée de mon vagin. J'avançai le bassin pour la guider encore plus loin. Je sentis alors la partie la plus large de sa main au niveau de l'entrée de mon vagin, puis l'instant d'après pénétrer totalement au fond de moi. C'était une sensation énorme, Nadège avait pris possession de mon sexe totalement, je sentais ses doigts caresser l’intérieur de mon vagin hyper sensible   je manquais de m'évanouir sous la puissance de l'orgasme qui me traversa brutalement à ce moment-là. Mon vagin se contractait par spasmes puissants et incontrôlables autour de la main au fond de mon ventre. Je n'en finissais pas de jouir et de ruisseler, tremblante de plaisir, presque inconsciente.

Après avoir repris notre souffle et nos esprits, nous avons été prendre une douche ensemble, ce qui fut le prétexte à de nouveaux jeux érotiques, très doux et très sensuels Tout à coup me vint une idée et je lui, dis-moi, tu es libre ce soir ?  Je n'ai rien de prévu, pourquoi ? Un ami Laurent doit venir tout à l'heure. Je me demandais... accepterais-tu …comment te dire cela … de le partager avec moi, pour tout te dire c’est une chose que je fais souvent. Surtout avec des couples, ou moi tout seule avec plusieurs amis. Apres une longue hésitation, elle m’a répondu oui.

Je sortis pour elle un tailleur noir, veste cintrée et jupe très courte, ainsi qu'un très fin chemisier blanc transparent. Elle enfila le fin chemisier sous lequel ses seins étaient nus, et attachait quelques boutons en laissant une profonde échancrure entre ses seins dont les mamelons et les pointes se distinguaient nettement sous le tissu. Elle enfila une de mes paires de dim. Up noir, puis mis la jupe, sans rien dessous, et complétait par la veste ajustée et largement ouverte. Et elle mit des escarpins. Moi j’enfilais une mini robe a bretelle très décolletée, au carré qui se terminait très bas en pointe entre mes seins toute transparente en dentelle très ajourée rouge, avec juste des dim up noir également.  

Bisous juste avantde partir dejeuner un internaute sur msn a voul la photo de mon string , j ai reussi a le photographier sur mon clavier de pc au bureau et a lui envoyer , et j ai decider d aller rejeuner avec un ami sans le remettre en le laissant dans mon sac a main. en ce moment nous sommes en voiture , moi le dos contre la portiere cuisses ecartées , sa tete entre elles , il es ten train de me lecher , mais comme j ai envie de me mettre en 69 au dessu de lui pour le sucer en meme temps ce je vais ecorter ce message. car vous devinez tous la suite , avant  que je revienne au bureau sssurement sans mon string a plus tard peut etre